• Chapitre 10 La vente aux enchères

    Chapitre 10 La vente aux enchères

     

     Ses doigts écrasaient les cordes vocales de Laora Belle, Vincent Lombardi jouit de l'instant présent. Il fit la grosse voix :

    — Allume une cigarette et que le tableau de ta petite sœur brûle !

    Sur un ton à peine audible, Laora répondit :

    — J'ai arrêté de fumer.

    Il lâcha prise « pardon chérie, je me suis laissé emporter ». Frappée d'inertie, elle se tut.

    — Ne fais pas l'enfant gâtée s'il te plaît...

    Laora prit la porte, suivie de Vincent Lombardi.

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    Il bouscula le flic sans s'excuser, puis s'éclipsa à l'étage.

    — Tout va bien mademoiselle Belle ? Interrogea l'agent de police. 

    Nulle réponse. Elle laissa paraître une mine bouleversée « Lombardi est de nature violente ? Vous avez une liaison avec lui ? Elle ne répondit pas. « Tout le monde est attendu dans la salle d'exposition, ne soyez pas en retard » ajouta David, tandis qu'elle descendait l'escalier.

    Laora croisa une femme habillée d'une blouse qui descendait jusqu'aux genoux, une mallette de cuir à la main. Elle pensa que c'était une scientifique. En haut de l'escalier, David Dekarpel lui fit signe de venir. 

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     Laora Belle se réfugia dans les toilettes du grand palais. Elles étaient étroites, munies d'un lavabo en céramique. Une serviette propre pendait sur son support. Agenouillée, elle ressassa les mots blessants de Vincent Lombardi « Tu es grosse et vilaine ». Elle enfonça deux doigts dans sa gorge, jusqu'à vomir. Puis, elle se lava longuement les mains à l'eau savonneuse sans pouvoir se regarder dans le miroir. Elle pleurait, mais elle ne pouvait guère laver ses péchés avec des larmes. Pour la première fois, Laora Belle omit de se remettre du rouge sur les lèvres.

    Chapitre 10 La vente aux enchères

     

     L'heure dînatoire passée, un richissime couple japonais cherchait son chemin.

    — Bonjour, dit maladroitement un homme à l'accent bien prononcé. Nous cherchons la vente aux enchères de Gabriel Belle.

    — Bonjour monsieur... Madame, salua Liotta. C'est au fond du jardin, après le labyrinthe, dans la dépendance près du lac. Les enchères vont commencer d'un instant à l'autre.

    — Meuci, dit-il en conflit avec la langue française.

    — Je vous accompagne, venez ! Encouragea Liotta.

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     Qu'il soit moderne ou abstrait, l'art habillait les murs pourpres d'une dépendance récemment rénovée.

    « Rangez la monnaie et sortez le chéquier » s'écria Vincent Lombardi, derrière un pupitre.

    L'agent Dekarpel accrocha le tableau de Désirée Belle sur un clou vacant. Il scruta le regard de Laora. Anonymes ou pas, la salle se remplissait peu à peu.

    — Les enchères sont ouvertes ! Lança l'homme d'affaires, contrarié par des couleurs qui l'attiraient.

    Assis sur un divan, au fond de la salle, Gab referma un cahier où il avait pris soin de rapporter des petits détails sur les œuvres offertes, comme l'aurait fait Daisy. Une statue ailée et une vieille carte avaient été déposées par la directrice d'une académie une heure auparavant. Un portrait lui sauta aux yeux.

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     Il laissa son cahier sur la banquette et s'approcha « C'est ma fille » chuchota-t-il, en admiration devant la peinture.  

    « L'auteur n'est pas mauvais, je dirais même qu'il est bon. Essaie-t-il de m'envoyer un message ? Où tu es Daisy ? ».

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     Une dame attira l'attention de David Dekarpel. Elle déposa Hirador sur un socle où trônait une statue ailée. Pendant une minute, elle s'amusa à ouvrir et à refermer l’œil du dragon, comme une fillette le ferait avec sa poupée. Hirador resta de marbre. L'agent Dekarpel s'inclina devant elle après qu'elle ait fait le tour du socle à sonder du regard le prétendu jouet. 

    — Bienvenue dans la galerie de monsieur Belle. Je me présente, David Dekarpel. Je suis de la police de Windenburg. À qui ai-je l'honneur ?

    — Je suis la directrice d'une grande école, je m'appelle Faba !

    David crut voir le dragon bouger. Il essuya énergiquement son monocle avec sa cravate.

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     Puis, il invita la directrice à s'asseoir sur la banquette matelassée.

    — Vous avez de jolies paillettes sur les yeux, flatta le flic. C'est un style peu commun. C'est pour l'occasion ?

    — J'aime que l'on me remarque, répondit Faba d'un rire jaune.

    — Vous avez certainement fait don de quelque chose à monsieur Belle, n'est-ce pas ?

    — Il est dans mon intérêt que l'orphelinat de Windenburg soit sauvé ! J'ai une adoption potentielle et un besoin d'argent pressant. J'ai rapporté des vieilleries que j'ai trouvées dans le grenier de mon académie, la statue ailée que vous voyez là-bas et une vieille carte sans intérêt. J'ai apporté aussi un jouet articulé, un dragon noir à la cuirasse argentée, plus vrai que nature. On dirait une statue sur pattes.

    Peiné, Gabriel ne quittait plus des yeux le portrait de sa fille.

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    — Je ne suis pas sûr que monsieur Belle considère cet objet comme une œuvre d'art, ajouta David.

    — Madame la directrice ? Questionna Liotta.

    — Que faites-vous ici ? Demanda Faba. Vous devriez être à la cueillette aux champignons.

    — Vous vous connaissez toute les deux ? Interrompit le flic, à l'écoute.

    — C'est chez nous que Liotta fait ses études.

    — Oh... Quel genre d'études ?

    — Les sciences, répondit Liotta, mal à l'aise. Pourquoi Hi... Pourquoi le dragon de la Princesse Valàne est en exposition ?

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    — Une Princesse ? Questionna David. 

    — Ça n'a pas d'importance monsieur Dekarpel, répondit Faba. Je souhaite la faire adopter et le plus tôt sera le mieux ! C'est un bébé, tout le monde veut un bébé. Elle fera le bonheur de parents qui ne peuvent pas en avoir. J'ai quelque chose de précieux à offrir en échange des bons soins qu'on lui apportera. 

    — Quelque chose de précieux ? Mais vous disiez à l'instant avoir besoin d'argent, souligna le flic.

    — Oui, tout à fait, répondit Faba, embarrassée.

     Gabriel était à la limite de tomber. Il était adossé au mur. 

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    — Vous n'avez pas le droit de prendre le jouet de la petite ! S'exclama Liotta, alors que l'agent Dekarpel porta secours à Gabriel Belle. 

    — Pourquoi défendez-vous ce jouet ? Qu'est-ce qu'il a de particulier ?

    — Excusez-moi je dois aller aux toilettes !

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    — Des chiottes jaunes, bleues avec un œil... Et on appelle ça de l'art ! Ne gesticule pas Hirador, je t'en supplie, glissa Liotta à l'oreille du dragon. L'autre, elle te surveille.

    — Je peux vous donner un billet sous la table pour le portrait de Désirée Belle ? Questionna un homme à lunettes qui discutait plus loin avec Vincent Lombardi.

    — Un p'tit gars comme vous n'a pas les moyens, maugréa-t-il. Regardez plutôt cette vieille carte accrochée au mur. Elle cache souvent un trésor inestimable. Je vous la vends pour une bouchée de pain.

    — Je ne suis pas intéressé.

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    — Il faut vous reprendre monsieur Belle, chuchota David Dekarpel. Faites comme si nous parlions d'un sujet quelconque. Ne criez pas. On nous regarde.

    — C'est ma petite Désirée, sur ce tableau...

    — Oui c'est elle. Reconnaissez-vous la robe sur ce portrait ? 

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     — Vos collègues ont été désagréables avec moi lorsque je suis venu au poste de police faire ma déposition. Je ne répondrai plus à vos questions.

    — Ils font leur travail monsieur Belle. Mais parfois, ils bousculent les citoyens pour leur soutirer des aveux.

    — Je n'ai rien à voir avec la disparition de ma fille.

    — C'est important monsieur Belle. Avez-vous déjà vu la robe que porte Daisy sur ce tableau, dans la boutique de Lombardi ? 

    — Je ne sais pas... J'ai parfois des trous de mémoire.

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    — Je comprends, ce n'est pas grave. Allez rejoindre la foule. On dirait bien que la presse est là !

    — Elle est vivante, n'est-ce pas monsieur Dekarpel ?

    — Si seulement vous pouviez reconnaître cette robe. C'est la robe qui a été volée chez Lombardi après la disparition de Daisy. Et elle porte cette même robe sur ce portrait. Quelqu'un sème des indices qui laissent à penser que Désirée est vivante. 

    Le flic sortit son téléphone de sa poche « Compagnie maritime de Windenburg, que puis-je faire pour votre service ? »

    — Bonjour, je suis l'agent Dekarpel. J'aimerais la liste des passagers, du personnel et de l'équipage qui se trouvaient à bord du Newcrestic lors de sa traversée pour son inauguration, au printemps dernier. C'est dans le cadre d'une enquête, au sujet de la disparition de Désirée Belle.

    — Nous ne dévoilons pas ce genre de détail par téléphone monsieur l'agent. Il faudra venir personnellement. Le secrétariat est ouvert du lundi au vendredi jusqu'à midi.

    — Merci, à bientôt.

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     Les appareils photo des journalistes s'animèrent lorsqu'une célébrité locale complimenta Gabriel. 

    — Votre galerie est une mine d'or monsieur Belle, engagea Judith. Je suis conquise par la toile de Désirée Belle. Connaissez-vous le peintre ?

    — Non. Toutes les pièces de collection qui se trouvent ici sont pour la plupart anonymes.

    — C'est dommage ! Cette peinture dégage quelque chose de particulier. J'aurais aimé être peinte de la sorte, l'auteur sait mettre en valeur son modèle. Dois-je comprendre que vous avez retrouvé votre fille ?

    — Hélas non.

    — Oh, pardon, je ne voulais pas vous froisser. Je trouve formidable qu'un homme tel que vous déploie autant d'énergie pour sauver l'orphelinat de notre ville.

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    — Vous allez me faire rougir Judith. Je vous remercie d'être présente à chaque fois que j'organise un événement, qu'il soit important ou non.

    — J'aimerais acheter les quatre tableaux qui se trouvent derrière moi... Dix mille ! Vingt mille pour le tableau de Désirée.

    — Je suis gêné de vous dire cela, Judith, mais je ne sais pas si je vais le vendre. Il s'agit de ma fille.

    — Bien sûr Gabriel. Et si je dis trente mille ?

    Laora Belle fut intriguée par une patte qui glissa de son socle. Elle repoussa celle-ci pour la remettre en place et grimaça au toucher d'une peau dure. 

    — Quarante mille ! S'extasia une femme aux cheveux longs, face à Vincent Lombardi.

    — Cinquante mille ! Surenchérit l'autre.

    Vincent Lombardi tapa la main sur le pupitre « Cinquante mille pour le tableau de Désirée Belle ».

    Judith fit preuve de réflexion à l'annonce de Vincent Lombardi.

     Chapitre 10 La vente aux enchères

     

    — Soixante-dix mille, relança calmement un potentiel acheteur.

    Vincent Lombardi faillit s'étrangler à l'écoute d'une pareille somme. Mine de rien, il l'annonça haut et fort en tapant de nouveau sur le pupitre.

    Il proposa une pause-café. L'auditoire acquiesça et s'empressa de retourner dans les vieux locaux du grand palais.

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    — Tu vas laisser ce tableau dans les mains d'un inconnu Vincent ? Demanda Laora, en sourdine.

    — Je ne débourserai pas un sou.

    — J'ai vu une technicienne tout à l'heure. Elle était là sans aucun doute pour relever les empreintes sur le tableau de Daisy. Si l'auteur de ce tableau est identifié, le flic remontera jusqu'à lui. Désirée dira que tu l'as jetée par-dessus bord s'il la retrouve.

    — On s'inquiète pour rien. Après tout, si ta sœur est vivante, c'est peut-être que l'autre a appliqué son contrat.

    — J'ai peur Vincent.

    — Il est trop tard pour ça. Et c'est dans ton intérêt de retrouver le bouton de ta robe rouge. Si le flic le trouve avant toi sur le bateau, tu m'accompagneras en prison.

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     Un peu plus tard, en fin de journée. Lyron admirait le soleil qui déclinait.

    — Tu joues avec le feu Lyron. Tu me dois des explications. Qu'est-ce que tu as fait à Daisy ?

    — Je l'ai sauvée d'une mort certaine.

    — Son père est dévasté. 

    — Je voulais lui faire savoir que sa fille est vivante. Je m'occupe d'elle.

    — C'était pour elle la sphère magique ?

    — Oui.

    — Oh toi tu es amoureux... Elle sait que tu es un sang-noir ?

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    — Non.

    — Je voulais te parler d'une petite fille qui s'appelle Valàne. C'est une sang-noire, et c'est ta nièce. La directrice de l'école veut se débarrasser d'elle dans le but de garder son trésor. Tout laisse à penser qu'il vient de chez nous, de Terre-Royale. Autre chose, elle est arrivée avec un dragon noir. Je pensais au début qu'il s'agissait d'un jouet, mais Elizia m'a confirmé le contraire.

    — Tu as vu ta sœur ?

    — À travers un portail, chez les sorciers, expliqua Liotta. Il y a une espèce d'aura magique qui m'empêche de le traverser.

    — Cela veut dire que le Seigneur noir a réussi à redresser le mur, conclut Lyron.

    — Ne reste pas ici ou tu vas cuire. Débrouille-toi pour récupérer Hirador. Je m'occupe du reste.

    Chapitre 10 La vente aux enchères

     

     Gabriel Belle s'était longuement entretenu avec l'agent David Dekarpel pendant la pause-café. Celui-ci lui avait rappelé que Lombardi était le dernier à avoir vu Désirée vivante. Le vieil homme avait déjà oublié ce détail. 

    — Je suis surpris que vous n'ayez pas fait l'effort d'acheter le tableau de Daisy monsieur Lombardi. 

    — Monsieur Belle, les temps sont difficiles...

    — Je croyais que vous aviez de l'intérêt pour Daisy puisque vous l'avez emmenée en croisière. J'ai dû me tromper. Avez-vous acheté une œuvre en faveur de l'orphelinat ?

    — Non, ces peintures ne feraient pas bonne figure chez moi. Pas même le tableau de votre fille.

    — Je vous décharge de tenir les comptes du gala de charité. L'agent Dekarpel s'en occupera jusqu'à la fermeture de la vente.

    — Mais monsieur...

    Chapitre 10 La vente aux enchères

     

     Une heure plus tard, en accord avec Gabriel Belle, le flic prit la parole pour clore le gala de charité.

    — Mesdames et Messieurs, je vous remercie d'être venus aujourd'hui. Monsieur Belle est fatigué et m'a chargé de prendre la parole. Tous les tableaux et les sculptures ont été vendus. Vous avez fait preuve d'une grande générosité. L'orphelinat de Windenburg ne fermera pas ses portes. La vente fut une réussite. Cependant, et je suis navré pour ses admirateurs, j'ai le regret de vous annoncer que le tableau de Dérisée Belle est immédiatement saisi pour les besoins de mon enquête. 

    Chapitre 10 La vente aux enchères

     

    Laora avait la désagréable impression que sa sœur la suivait sans cesse du regard. Elle redressa les épaules et tenta de cacher son embarras. Elle attira l'attention.

    — J'ai une annonce à faire ! Si mon père le permet.

    — Je t'en prie...

    — J'aimerais prendre la direction de l'orphelinat de Windenburg. Pour que tu sois fier de moi papa...

     

     

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  • Commentaires

    1
    Dragonia
    Samedi 6 Novembre 2021 à 15:30

    Bonjour Crizie,

    C’est toujours avec un intérêt certain que je te retrouve pour lire un nouveau chapitre !! wink2

    Cette suite nous amène à pressentir que quelque chose d’important s’en vient… et si on tient compte de certains points on peut remarquer ceci :

    -          Lombardi a une emprise écrasante sur Laora… c’est évident… et c’est un goujat plutôt violent… Si cette pauvre fille peut être assez vexée, humiliée et offensée dans son amour propre… qui lui ferait réaliser que son père l’aime aussi…

    -          Dekarpel, tant qu’à lui,… perçoit chaque petit détail comme un fait digne d’attention ce qui le rend très efficace dans son enquête… il a même vu le désarroi de Gabriel… et a pu surprendre un mot qui en dit long lors de la conversation de Liotta avec  Faba…

    -          Liotta est serviable…  et perspicace…. Elle est douée dans des domaines qui ne sont pas nécessairement  dans la même vue que ses maîtres en sorcellerie…  et ça lui confère une utilisation avantageuse qui a plus de valeur !!

    -          Gabriel est un homme bon… et il est considéré par des personnalités célèbres… et beaucoup d’autres… contrairement à Lombardi qui le regarde uniquement pour sa fortune…  

    La carte qu’a amenée Faba a peut-être son importance… mais je préfère ne pas spéculer et attendre le déploiement de ce qui va advenir pour en savoir plus…

    Hirador… quel être prodigieux… et il fait tout pour ne pas être découvert …  !!

    Enfin, Liotta a pu parler à Lyron… Et ce qu’ils se disent est d'un intérêt réel et crucial,... en plus de ce qui a captivé mon attention… surtout lorsque Liotta lui a dit que tout laisse à penser que le trésor vient « de chez nous »… elle et Lyron sauraient qu’ils sont originaires de Terre-Royale… tous les deux… !!?? Mais ce qu’il lui dit au sujet du portail est étonnant… ???!!

    L’exposition a rapporté gros… et les intentions de Laora pour prendre la direction de l’orphelinat sont-elles sincères ?! Mais, parce qu’il y a un mais… et c’est Dekarpel… hi hi… personne n’aura le tableau de Daisy… !!

    Pour terminer j'aimerais ajouter... Qu'on peut se demander à quoi et à qui Lombardi fait allusion lorsqu’il ajoute, en parlant avec Laora, que « l’autre a appliqué son contrat !????!

    Tu sais nous mener avec brio vers un intérêt grandissant pour connaître les évènements qui s’en viennent !! Merci pour cette histoire fabuleuse… Gros bisous, Dragonia *Cœur*

     

    2
    Simsophonique
    Lundi 15 Novembre 2021 à 21:25

    J'ai de plus en plus l'intuition que c'est la jalousie de qui poussé Laora  à vouloir tuer sa sœur à l'abandonner à son sort elle est machiavélique cette fille. Le Vincent n'est juste qu'un exécutant. Seulement voilà le plan à échouer à cause de Lyron et je me demande s'il ne vas pas lui arriver quelque chose ...

     

    au fait j'ai quitté eklablog comme personne ne venait et que je n'ai pas l'envie au final de réécrire mon histoire. Je n'ai pas la foi en ce moment.

      • Vendredi 19 Novembre 2021 à 18:40

        Tu pourras vérifier ta théorie plus tard... Merci beaucoup d’être passée !

        C’est dommage que tu aies supprimé ton blog, j’y passais de temps en temps...

    3
    Samedi 11 Décembre 2021 à 01:30

    J'ai juste changé de plateforme en fait où il y a encore une petite communauté de joueurs qui partagent leurs legalicies active .Je n'ai pas abandonné le partage de sims , seulement comme je suis moins active qu'avant vu les soucis de sims 3 que j'ai en ce moment parce que c'est pas évident de parler sims ici, a part nous deux il y a quasiment personnes d'actives.j'ai l'impression d'Eka est complètement abandonné par ses membres. Et personne non plus de curieux qui rendent visite à mon blog.

    En ce qui concerne ma théorie même si elle ne sera pas vérifiée dans le futur, ca m'a fait plaisir de la partager avec toi.

     

     

      • Mardi 28 Décembre 2021 à 17:52

        J'ai moi aussi l'impression qu'il n'y a plus personne, ici ou ailleurs erf et ça ne motive pas du tout. Le plaisir est partagé ! 

    4
    Mardi 28 Décembre 2021 à 22:38

    Il y a que sur tumblr qu'il y a une communauté active mais vu la mentalité mieux vaut ne pas ouvrir de compte là-bas ou alors être discrète. Sinon pratiquement plus personne ne partage sur les sims en ligne c'est dommage a part un peu sur canalblog où sur certains forums peut-être. Ce n'est absolument pas motivant je trouve ça dommage.

    Heureusement que j'ai gardé ton blog en favori comme çà je ne perd pas la progression de ton histoire.

    J'espère que tu as passé un bon réveillon de Noël et un joyeux Noël.

      • Vendredi 31 Décembre 2021 à 11:26

        Je ne fais parti d'aucun réseau social, je n'aime pas ça ! Je suis super contente de voir que tu ne me laisses pas tomber !!! Non... je ne voulais pas en parler, mais j'ai perdu ma chienne le 8 Novembre... c'est dur ( d'où mon inactivité ces temps-ci). Je te souhaite malgré tout une bonne et heureuse année, prend soin de toi ^^

         

    5
    Vendredi 31 Décembre 2021 à 13:08

    Mes condoléances pour ta chienne, c'est dur de perdre une amie et une fille en même temps. Mais elle repose en paix çà c'est certain.

    J'aime beaucoup ton histoire elle est bien écrite et réfléchie donc je ne t'abandonnes pas.

    Tumblr est social que si l'on souhaite qu'il le soit sinon c'est un blog comme un autre.Moi qui suis restée des années là-bas je n'arrive toujours pas a comprendre où tumblr est social. happy a part les # et les reblogs bof lol.

    Bonne année 2022 prends soin de toi aussi.

    6
    Dimanche 2 Janvier 2022 à 16:10

     

    Elles étaient étroites, munies d'un lavabo

     

    crut voir le dragon bouger

     

    des vieilleries que j'ai trouvées

     

    le plus tôt sera le mieux

    Des chiottes jaunes, bleues avec un œil...

     

    Je ne répondrai plus à vos questions

     

    J'aimerais la liste

     

    Les appareils photo

    Je trouve formidable qu'un homme tel que vous déploie

     

    prit la parole pour clore le gala de charité

    d'être venus

     

    7
    Dimanche 2 Janvier 2022 à 16:12

    Et voilà ! encore désolée pour ce gros retard.

    A bientôt !



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