• Chapitre 6 : Le portrait

    Chapitre 6 : Le portrait

    Vincent Lombardi dévisagea le policier comme un envahisseur qu'il fallait fuir. Il le rabaissa du regard :

    — Je doute que vous soyez là pour faire un quelconque achat...

    — Si ! Pour acheter des bretelles.

    Ce ton ironique qu'il employa déplut à l'homme de renom. David Dekarpel parcourut des yeux les flacons de parfum ; pas une empreinte, les mannequins ; soigneusement disposés, les étales ; pas un grain de poussière. La propreté était admirable. Les vêtements pliés n'avaient pas un faux pli, aucune trace de doigt sur les vitres.

    Les nerfs irrités, Vincent Lombardi soupira :

    — Des bretelles, pourquoi pas...

    Chapitre 6 : Le portrait

     

    — Je suis l'agent David Dekarpel, de la police de Windenburg.

    — Quel genre de type porte encore des bretelles de nos jours ? Vous êtes certainement en bas de l'échelle non ?

    — Croyez bien monsieur Lombardi que je ne vais pas y rester longtemps. Je vous en fais la promesse. Vous ne me présentez pas ?

    — Ce n'est qu'une cliente, Laora Belle.

    — Je ne pensais pas la trouver en votre compagnie...

    Un détail qui dérangea Vincent Lombardi. Mal à l'aise, il reprit :

    — La famille Belle achète dans ma boutique depuis plusieurs années maintenant.

    — Et qu'avez-vous acheté mademoiselle Belle ?

    — Je... J'ai...

    Chapitre 6 : Le portrait

     

     Elle attrapa un sac luxueux caché derrière le comptoir-caisse.

    — J'ai arraché le bouton d'une robe à laquelle je tiens beaucoup. Je la rapportais à monsieur Lombardi pour qu'il puisse user de ses doigts de fée.

    — Alors vous le connaissez bien ?

    Agacé, Vincent Lombardi l'était. Il répondit à sa place :

    — Je vous l'ai déjà dit monsieur l'agent ! La famille Belle achète dans ma boutique depuis longtemps.

    — Puis-je voir le contenu de votre sac mademoiselle Belle ?

    Chapitre 6 : Le portrait

     

     Le pinceau se posa comme une caresse sur la toile. La touffe de poils esquissa la rondeur d'un sein.

    — Monsieur Lyron semble gêné...

    — Nullement. Je suis concentré. Pourquoi cette moue ?

    — Je ne voudrais pas vous vexer, mais la robe me gratte.

    — Vous portez une robe d'un demi-million Désirée Belle !

    — Je ne mérite pas autant d'attention.

    — Je vous donne l'attention profonde que d'autres n'ont pas su vous donner.

    — De qui parlez-vous ?

    — Vincent Lombardi.

    — J'ignorais que vous le connaissiez...

    — Vous voulez me parler de lui ?

    — Non. Il n'a pas été correct avec moi.

    Chapitre 6 : Le portrait

     

    Vladislaus toussota.

    — Vous flirtez dans mon dos tous les deux ?

    — Mais pas du tout, répondit Désirée, gênée.

    — Bienvenue dans notre famille jeune fille.

    — Je ne vais pas rester ici longtemps et je ne fais pas partie de votre famille monsieur Vladislaus.

    — Il faut se conformer à la coutume des sangs-noirs* jeune fille. L'impolitesse n'est guère tolérée sous mon toit !

    — Ce n'est pas de l'impolitesse. Mon père dit que l'honnêteté est une qualité qui se perd et qu'il faut toujours dire la vérité. Je suis debout depuis des heures, on pourrait faire une pause ?

    — Un thé est de rigueur ! S'exclama Vladislaus. Samuel est indisponible, je m'en charge...

    Chapitre 6 : Le portrait

     

      Il n'avait rien mangé d'aussi bon et de copieux depuis... Il ne s'en souvenait guère. Jaméson remercia poliment Liotta, humant la bonne odeur de son assiette.

    Dring Dring... 

    Elle décrocha.

    — Liotta ! Tout le monde vous cherche ici...

    — Doc ! Je ne sais pas quoi vous dire, je n'ai personne pour garder Ruben.

    — Est-ce que vous avez lu le compte rendu de ce petit garçon ?

    — Non.

    — D'après son squelette, il a environ huit mois. Sa morphologie est assez inquiétante, mais au-delà de ça, il est sourd Liotta.

    — Oh ! S'exclama-t-elle d'une vive surprise. Comment va la fille ? 

    — Elle est du même âge, précoce je dirais. Mais je la trouve de plus en plus pâlotte. Elle refuse le lait qu'on lui donne. Je dois raccrocher. Débrouillez-vous pour venir à Glimmerbrook.

    Chapitre 6 : Le portrait

     

     Surprise fut-elle lorsque Jaméson débarrassa la table. À peine avait-il déposé la vaisselle dans le bac à laver que Liotta n'était plus là. Alerté par le son d'un téléviseur, il la rejoint dans le salon. Liotta embrassa son fils sur le front.

    — Vous gesticulez tout le temps, constata-t-il. Vous avez dit Doc ? 

    — Il est médecin, savant fou, et que sais-je encore, notre doc à nous quoi ! Il dit que le garçon est sourd.

    — Sourd ?

    — Il faut que j'aille à Glimmerbrook. Ça vous ennuie de garder le garçon ?

    — Vous ne pourriez pas simplement l'appeler par son prénom...

    — Je suis pressée. Alors ?

    — C'est la première fois qu'on me demande un service, je veux dire... Je suis un clochard, les gens ne me font pas confiance.

    — Blablabla ! J'espère ne pas le regretter Jaméson. Faites comme chez vous...

    — Soyez plus prudente avec votre balai, les murs ont des oreilles et des yeux aussi.

    — Prenez soin de mon fils ! S'exclama-t-elle, lorsqu'un flash info s'imposa sur toutes les chaînes de télévision. Une banderole en bas de l'écran défilait à répétition. Le présentateur décrivit la jeune fille disparue, suppliant quiconque de se rendre à l'hôtel de police s'il avait des informations à déclarer.

    Chapitre 6 : Le portrait

     

     Laora Belle sortit du sac une longue robe rouge. David Dekarpel l'étala sur le comptoir-caisse, un bouton manquait. Il observa le mannequin devant la vitrine, pareille était-elle.

    — C'est une robe d'époque, constata le policier.

    — Oui et alors ? J'en ai beaucoup vendu, répliqua sèchement Vincent Lombardi.

    — Je suis curieux, ironisa l'agent Dekarpel. À quelle occasion avez-vous porté cette robe mademoiselle Belle ?

    — Vos questions sont agaçantes ! S'interposa Vincent Lombardi. Vous devriez plutôt rechercher ce type qui m'a volé une robe d'un demi-million.

    — Navré de l'apprendre. Pouvez-vous me le décrire ?

    Chapitre 6 : Le portrait

     

    — Ses yeux... Je ne vois qu'eux. Il a des yeux perçants, bleus, des cheveux noirs mi-longs, une carrure plutôt athlétique. Il a dit s'appeler Lyron. Retrouvez-le !

    — Qui d'autre l'a vu ?

    — Axelle, mon employée. Je dois partir. J'ai convoqué la presse pour signaler ce sale type.

    — Je vous ai dit pourquoi j'étais là ?

    — Je vous écoute agent Dekarpel !

    — J'enquête sur la disparition de Désirée Belle.

    Laora se montra d'une pâleur de mort. Vincent Lombardi reçut comme un coup de poignard en plein cœur. 

    — La presse m'attend !

    Chapitre 6 : Le portrait

     

     Dehors s'agitaient les journalistes. Il aimait se pavaner devant les caméras et les appareils photos.

    — Une de vos plus belles robes a été volée, c'est bien cela monsieur Lombardi ?

    Il déclara d'une fière allure « C'est exact, une robe unique et luxueuse » et sur un ton étranglé, il révéla le prix « d'un demi-million ! ». Une quinte de toux l'embarrassa. La caméra filmait. « Apportez-moi un verre d'eau mademoiselle Belle » dit-il avec trop de manières. Une fois avalé et ses esprits retrouvés, il ajouta « Qui retrouvera l'individu sera récompensé, voire même engagé dans une de mes boutiques, sur la Magnolia Promenade ou ailleurs, son choix sera le mien ».

    Il décrivit la robe et le prétendu voleur avec précision. Un journaliste prenait des notes. Les flashs des appareils photo s'animèrent « Et si c'est une femme, fine et belle, je lui offrirai une place en tant que mannequin lors de mon prochain défilé de mode ».

    Laora attrapa un taxi, un air jaloux, loin de passer inaperçu.

    Chapitre 6 : Le portrait

     

     Elle était allongée dans un vieux berceau en châtaignier brun. Des ombres de velours l'entouraient. La salle était vide. Émerveillée fut-elle devant le dragon qui la regardait. Sa petite main tenta d'agripper une corne pointue.

    Le dragon noir saisit doucement un petit pied et un petit bras pour ramener l'enfant dans son berceau en son milieu.

    Déjà deux petites canines poussaient.

    Il se recoucha sagement au côté de Valàne. Elle se blottit contre lui, prête à téter le sang de son gardien.

    Chapitre 6 : Le portrait

     

     À califourchon sur son balai, Liotta osa un atterrissage sans mal. Ses lèvres bavardes guidèrent le manche tandis que ses mains l'agrippaient. Au ras du sol, celui-ci se mit à tournoyer. Elle finit allongée tel un boxeur au tapis. « Tu n'as pas progressé » engagea Simeon.

    — Tu devrais t’entraîner plus souvent, dit-il inquiet. Les épreuves approchent.

    — Je prends note...

    — Liotta tu ne prends jamais rien au sérieux, tu ne peux pas avancer...

    — Il y a une chose que je prends au sérieux aujourd'hui, le garçon ! Je vais m'occuper de lui comme tu l'as fait pour moi... Ruben est sourd et moi je suis balafrée, on est faits pour s'entendre. 

    Elle regarda le firmament un instant. Une teinte azurée, une autre rosée annonçaient la tombée de la nuit. Elle se releva, pétrit sa cuisse, courbée en deux.

    Chapitre 6 : Le portrait

     

    — Ce petit va te demander beaucoup d'attention. Il aura besoin de soins particuliers.

    — Je suis une sorcière. Il existe peut-être un breuvage, une potion, un truc...

    — Liotta tu sais à peine conduire un balai. Il faut que tu réussisses à gagner une Orbe cette année. Que feras-tu quand je ne serai plus là ?

    — Mais tu es là !

    — Est-ce que tu fais encore ces cauchemars ?

    — Pas cette nuit.

    — La directrice te cherche, elle n'est pas contente.

    — Elle ne l'est jamais de toute façon. Où est-elle ?

    Inquiet, il répondit :

    — Je ne sais pas. Écoute, tu as vraiment besoin d'un familier à tes côtés pour te protéger. Il faut que tu sois retenue lors des épreuves éliminatoires. J'ai un peu de temps, accorde-moi deux heures pour t'entraîner. Fais-le pour moi !

    — D'accord paternel de mon cœur. Au fait ! J'adore ta nouvelle coupe de cheveux... Si on allait manger quelque chose avant ?

    — Ça tombe bien on va travailler la magie pratique. Tu vas avoir l'honneur de préparer un délicieux repas sans ingrédients ni ustensiles pour toute l'école !

    — Tu n'y penses pas sérieusement ?

    — Mais bien sûr que si. Allez ! Suis-moi...

    Chapitre 6 : Le portrait

     

     Au deuxième étage, dans une grande salle, Simeon lui indiqua la position à prendre et lui fit d'abord répéter « Délicioso » en découpant les syllabes. Liotta s'inclina légèrement en avant et leva un bras en arrière au-dessus de sa tête. L'autre main cibla le chaudron à trois pieds. Les cristaux restèrent muets, éteints. Délicioso répétait-elle à tue-tête à la demande du Sage. Le récipient se remplit d'une matière de plus en plus liquide. Lorsque de ses doigts jaillirent des étincelles, des globules sphériques et bouillonnants d'une odeur suspecte éclatèrent l'un après l'autre. Pendant que Liotta s'exerçait, la directrice s'imposa :

    — J'ai compté les pièces du coffre, nous sommes riches...

    — Pardon madame, mais ce trésor ne vous appartient pas, chuchota l'as de pique. C'est le bien de la gamine.

    — Je trouve fort curieux que le supposé jouet orne les pièces d'or.

    — J'entraîne mon élève, nous en discuterons plus tard.

    — Avez-vous vu Jaméson Roussel ? J'ai deux mots à lui dire... Il a griffonné sur sa fiche d'inscription une adresse non valide.

    — Il garde Ruben ! S'écria Liotta.

    — Concentrez-vous sur ce que vous faites, répliqua Faba. Ma conversation avec l'as de pique ne vous regarde pas ! Par contre, je voulais vous dire que j'ai pris un rendez-vous avec la psy, pour vous, le troisième me semble-t-il. Le conseil et moi doutons que vous soyez apte à vous occuper d'un enfant...

    Mécontent, Simeon rétorqua :

    — Je fais partie de ce conseil moi aussi. On ne m'a pas consulté ! 

    Chapitre 6 : Le portrait

     

     Ils étaient en admiration devant le portrait achevé. 

    — Quel talent ! S'exclama Vladislaus.

    Lyron embrassa les mains de la belle. Somnolente, Daisy questionna :

    — Est-ce que vous avez acheté la robe chez Lombardi ?

    Le thé lui tourna la tête, ses yeux se brouillèrent. Daisy s'excusa et se retira dans ses appartements. L'oncle Vlad tendit l'oreille. La porte à l'étage se referma. 

    Chapitre 6 : Le portrait

     

     De sa poche, il sortit un téléphone.

    — Avez-vous drogué son thé mon oncle ?

    — Je l'ai fait pour vous mon cher neveu. Soir après soir, vous la buvez comme un cocktail rafraîchissant. Je me demande ce que ferait Daisy si elle apprenait qu'il y a un téléphone à sa portée de main.

    — Ne me jetez pas la première pierre, je sais tout mon oncle !

    Chapitre 6 : Le portrait

     

     Vladislaus fit la sourde oreille. Il pianota sur les touches de son téléphone.

    — Voulez-vous que je vous rapporte des nouvelles croustillantes ? 

    — Quelles sont-elles ?

    — Vincent Lombardi vous a identifié comme le voleur d'une robe à un demi-million... dans sa boutique, sur la Magnolia Promenade. C'est grotesque d'avoir pris un tel risque. Qui d'autre vous a vu ?

    — Axelle, son employée.

    — Désirée vous fait tourner la tête mon cher. Autre chose, Gabriel Belle fait un appel au don pour sauver l'orphelinat de Windenburg. 

    — Il serait peut-être bon de lui offrir mon œuvre pour faire savoir au monde entier que Désirée Belle n'est pas morte...

     

                                                                                                               

    Sangs-noirs* : vampires

      

    « Chapitre 5 : Le flic et le clochardChapitre 7 : Au-delà... »

    Tags Tags : , , ,
  • Commentaires

    1
    Mercredi 2 Juin 2021 à 00:20

    Lol des psys chez les sorciers j'en peux plus he.

    Mais Vlad est bête il croit que son neveu se nourrit du sang de la femme qu'il aime .

      • Mercredi 2 Juin 2021 à 11:56

        he

        Remarque intéressante...

    2
    Dragonia
    Jeudi 3 Juin 2021 à 13:51

    Bonjour Crizie,

    C’est toujours de plus en plus captivant… et tu m’étonnes par l’usage que tu fais du jeu sims 4 pour nous présenter cette histoire… et tes montages sont éblouissants… surtout en intégrant Hirador… c’est bluffant  !! Les images sont magnifiques !!

    J’ai l’impression que Laora s’est laissé manipuler par cet arriviste de Lombardi… et il est vraiment contrarié par l’intrusion de Dekarpel dans ses affaires !! Ce détective me plait avec son air moqueur et ne semble pas se laisser impressionner par ce personnage hautain… , ni par personne d’ailleurs, il fait son enquête… point… !!

    Pourrions-nous dire que Lyron est envoûté par la beauté de Désirée au point de ne plus user de prudence en se faisant voir car il aurait pu voler la robe de façon plus discrète…  mais il faut avouer que la peinture de Daisy est très belle… et en valait la peine…  c’est incroyable le talent qu’il a… !!!

    Lequel des deux entre Lyron ou Vladislaus… fourbe les autres… ils ont chacun leur intérêt mais je ne comprends ni l’un, ni l’autre… alors, c’est en continuant à suivre cette histoire que je saurai… et comprendrai !

    Liotta ressent probablement une sincérité de la part de Jaméson pour lui confier Ruben…

    Siméon est intègre envers l’ordre des mages et  Liotta, étant sa protégée,  le sais bien mais quelle gaffeuse hi hi... malgré ses efforts elle n’a aucune amélioration…  pourtant, elle veut tant être une sorcière mais n’y arrive pas !! Faba est la malveillante et donc, sans scrupule, elle a Morgyn  à ses genoux… et veut prouver que Liotta est une incapable… la spy… et quoi d’autres… Ils ont exclu l’as de pique et ça, c’est pas bon !!! Les avides sont là pour s’accaparer la richesse de Valàne avec déjà les petites canines !! J’arrête ici car je suis entrain d’écrire un roman !!!

    C’était que du plaisir de lire ce chapitre… Gros bisous, Dragonia smile*coeur*

      • Vendredi 4 Juin 2021 à 10:35

        Bonjour Dragonia,

        Je suis contente que ça te plaise ! Le résultat est bon, mais j'arrive plus ou moins à ce que je veux avec les sims 4. Ah oui c'est vrai, tu connais le nom du dragon noir, forcément, tu as lu La Terre des Dragons, ce qui te donne un avantage. J'apporterai toutes les précisions nécessaires à son sujet dans les prochains chapitres pour ceux qui ne le connaissent pas... Je ferai des fiches personnages probablement plus tard. Merci !

        C'est ça, il fait son enquête ! Pour lui, tout le monde est suspect... c'est certain, Lombardi est contrarié par son enquête et il ne laisse jamais répondre Laora aux questions. Il a peut-être peur qu'elle parle trop ! "Manipuler" n'est peut-être pas le mot qui convient, mais... hi hi je ne t'en dis pas plus.

        Oui, il est déstabilisé par Daisy. Lyron a voulu acheté cette robe pour elle, et il voulait se faire voir, il n'avait pas l'intention de se cacher. Il voulait que la terre entière sache qu'il a acheté cette robe... Affaire à suivre.

        A ce stade de l'histoire, c'est normal que tu doutes de l'un et de l'autre...

        Oui, Liotta se sent très seule... on comprend au fur et à mesure des chapitres qu'elle est rejetée sauf par son papa de cœur. Pour elle, l'arrivée de Ruben et de Jaméson c'est quelque chose ! Elle est assez maladroite oui hi hi Elle n'avait peut-être pas envie de faire d'efforts justement à cause de la solitude... Faba a tout le monde à ses pieds, c'est la directrice. Elle use de sa supériorité, oui ce n'est pas bon ! C'est exactement ça, Valàne est une sang-noire (autrement dit un vampire)... et elle se nourrit du dragon... il veille sur elle, il se fait passer pour un jouet, mais Faba commence à avoir des doutes... Mais ton roman m'a plu, j'adore lire wink2

        Merci beaucoup ♥

    3
    Mardi 8 Juin 2021 à 21:40

    Non c'était juste comme cà happy je sais que Vlad s'il pouvait, vampiriserait toutes les villes.

    (Sinon j'ai essayé d'écrire avec les sims 4 mais j'y arrive pas)

      • Jeudi 10 Juin 2021 à 15:29

        Oui dans le jeu, mais il n'aura pas le même rôle dans mon histoire. Ta remarque était bonne quand même quand tu avais écrit ça  "il croit que son neveu se nourrit de la femme qu'il aime"

        Je comprends, j'ai du mal aussi... le jeu nous emmène là où il veut aller, c'est compliqué !

    4
    Samedi 3 Juillet 2021 à 18:18

    Il y a trop d'autonomie dans les sims 4 un peu comme les sims 2 c'est difficile d'écrire quelque chose de bien au final tu n'as que des évènement sociaux et du bla bla. Concernant Vlad , même si son rôle  dans ton histoire est largement différent que dans le gameplay , il y a toujours quelques chose qui en ressort  de son histoire propre. Il est difficile pour énormément de joueurs sims 4 de le penser gentil . En tout cas moi j'y arrive pas.

    5
    Mercredi 11 Août 2021 à 16:41

    Coucou Crizie ! :) Me revoilà après de petites vacances.

    Je te corrige les chapitres 6 et 7 de suite !

    6
    Mercredi 11 Août 2021 à 17:08

    touffe de poils

    semble gêné

     

    savant fou

     

    Il a dit s'appeler

    Qui d'autre

    Les flashs des appareils photo

     

    Quand je ne serai plus là

    paternel

    Au fait

    bouillonnants

    l'un après l'autre

    L'oncle Vlad

     

    Qui d'autre vous a vu

     



    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :